Alishra [Accepté]

Nombre de messages : 12 Age : 38 Date d'inscription : 16/06/2006

Alishra venait de quitter son royaume de la mer des soupirs, bien loin de toute civilisation. Cette jeune héritière du royaume de l’Attis, était connu depuis quelques temps en effet fille d’un humain, elle naquit d’un être sans –vie qu’on nomme succube. Sa mère se nommait Arikel, non exotique de pays orientaux, mariant une couleur de peau halée à un blanc immaculée. Elle donna naissance à une enfant au cheveu terriblement blond presque blanc avec un regard troublant, un marron sanglant illuminait ses pupilles de nourrisson. La Jeune princesse du royaume faisait le bonheur de son père le Seigneur Milo.

La douce enfant comprit bien vite qu’en son cœur il n’y aurait jamais aucun battement, qu’elle serait toujours froide comme la mort, et que seul le sang de ses victimes pourrait lui apporter un peu de chaleur. Douloureuse blessure alors que l’on vient à peine d’avoir douze printemps, la glace envahit le cœur, et la peine laissa place à l’indifférence, sa mère était cruelle, et aimait à voir son enfant se morfondre sur son état. La douce créature n’apprenait que de son père, à être quelques chose d’humain qui aimait son prochain et qui défendrait les sujets de son royaume, qu’importe la menace. Sa mère crachait sur cette immortalité.

Elle trouvait que ceci n’était qu’un terrible simulacre pour une enfant damnée depuis sa naissance. La nourriture que les sujets paysans cultivaient ne la nourrirait jamais alors qu’importe que les cultures brûlent ou que la populace des croquants crève, elle n’avait qu’à boire à leur gorge leur nectar rubis pour se voir revigorer et plus belle qu’avant …cela dit Arikel avait beau chanter à sa fille que les mortels n’était que du bétail l’enfant lui tenait tête.

Son père le seigneur Milo se voyait de plus en plus faible, et savait qu’un jour la grande faucheuse viendrait réclamer son âme. Le vieil homme déclinant s’acharner à apprendre à sa seule fille qu‘un seigneur ce doit d’être juste pour son peuple. Et que ce n’était pas parce que sa mère avait le cœur dur comme la pierre qu’elle sa fille devait suivre ses traces. Les sujets du seigneur Milo connaissaient toute la vérité sur l’épouse de celui-ci mais la plupart pensait qu’Alishra n’avait pas subit le même sort que la sorcière.

Aucun des sujets du royaume n’aimait la femme au cœur de pierre, aux yeux de glace, pour eux cette femme ne méritait que la mort, mais tout le monde sache que ces vœux ne serait jamais exaucée vu la nature de la succube, la colère grondait parmi eux, car Arikel prélevait ses repas parmi les enfants et les jeunes femmes. Le plus dur était de savoir qu’elle ne buvait pas que le sang et que des fois par pur plaisir elle ôtait la vie à ses sujets.

Son mari en était conscient mais que dire à une femme qu’on aime malgré ce qu’elle est. Comment deux être si opposée pouvait avoir donné la vie, tous les séparaient l’une était cruelle, l’autre était pacifique. Le venin qui coulait dans les veines d’Arikel était si puissant qu’un jour exaspérait par son mari. La succube entra dans une telle colère qu’elle massacra un village entier. Alishra voyait, entendait mais ne prenez pas encore par au conversation des grands, une elfe Ayla qui venait souvent au château. Guérisseuse et prêtresse d’Hondur, apporta un peu de soutiens à la jeune adolescente lui disant un jour :

« Les tous petits n’écoute pas forcément ce que disent les très grands »

Alishra ne comprenait pas le sens de cette phrase, mais continuait d’écouter l’Elfe qui lui raconter de nombreuse histoire sur Hondur. La jeune femme ne se nourrissait toujours pas d’humain préférant prélever quelques gouttes sur les animaux.. Le sang n’était sans doute pas des meilleurs mais au moins elle ne tuait personne pour survivre. Puis son père sombra dans la maladie, les soins d’Ayla ne faisaient plus rien, on aurait dit que le seigneur Milo avait été empoisonné par un venin bien plus puissant que les breuvages elfique. Le sourire que portait Arikel sûr le visage ne laissait aucun doute, elle était l’auteur de cet acte. Le bon seigneur disparu dans de terrible souffrance, comme si une bête était entrain de ronger ces entrailles, maigre et pâle il périt une nuit d’hiver.

Le domaine de l’Attis, devînt une terre de chaos, sa mère Arikel plongeait dans le chaos et la folie, les elfes n’approchaient plus seule Alishra restait au côté du démon, alors âgée de vingt ans en apparence, alors qu’elle allait sur sa millième année, elle perdait espoir, en la justice, personne ne venait tuer l’être abominable qui rendait exsangue le royaume et qui rendait esclave chaques sujets du royaume. La révolte grondait mais personne n’osait tuer le serpent vénéneux, il pensait tous à la jeune femme qui était tout la haut dans la tour. Qu’on apercevait le soir et qu’on entendait fredonner des airs bien triste et mélancolique ? Alishra était séquestrée par sa propre mère, folle et amère Arikel s’enfonçait de plus vers les enfers. La délivrance vînt du continent, des bruits couraient sur un chevalier de justice qui avançait à grand pas pour terrasser le dragon du royaume. Sur sa bannière l’aigle resplendissait éclatant telle la lumière divine pour sauver ce monde du chaos.

Les armées de la succube partir à la recherche du mystérieux chevalier, Arikel voulait sa tête. Les jours passèrent et les troupes rentrèrent bredouille, personne ne trouvait le chevalier de justice. Arikel en devenait folle et commença à en vouloir à sa propre fille prétextant qu’elle était le seul être diabolique au château et que c’est elle qui devait mourir pour sauver le royaume. Avide de pouvoir Arikel voulait rester sûr le trône et être l’unique dirigeante du royaume d’Attis.. Ses rêves tombèrent en ruine lorsque le chevalier traversa le pont-levis et monta jusqu’à elle pour lui ôter la vie et sauver le royaume, mais la succube n’avait pas dit son dernier mot, elle combattit le dénommait Melchior par la ruse et la fourberie utilisant les magies les plus obscur, mais la justice remporta la victoire rendant la bannière d’Hondur encore plus étincelante malgré le sang qu’il avait versé.

Il gravit les marches qui menaient jusqu’au second démon mais lorsque la porte s’ouvrit, il ne vit qu’une jeune femme les yeux humides des larmes de sang séchait inondait la pâleur de son visage. Il ne la toucha pas lui disant juste :

« Cette un acte juste que je viens de faire ! Justice pour tous, même pour toi enfant. »

[accord de Melchior pour faire parler son personnage]

Puis il disparut retournant sûr le continent, Alishra n’oublia jamais le visage de celui qui avait apporter la justice en son royaume, elle reconstruit le royaume de son père, tentant de lui succéder le mieux qu’elle pouvait, juste et loyale à sa cause elle instaura le culte à Hondur. Immortalisant ce jour par une statue représentant l’aigle terrassant un serpent à deux têtes. La calme était revenu dans sa cité mais le visage de l’homme ne quittait pas son esprit, elle devait le retrouver, elle convia ses sujets les plus loyaux et leur confia des tâches pour le royaume, elle allait s’absenter et ne savait pour combien de temps et d’année. Il était peut-être mort maintenant dix ans s’était écoulée depuis leur rencontre. Alishra s’en allait courir après une chimère elle ne connaissait de lui que son prénom, mais au fond d’elle autre chose était née un sentiment éphémère qu’elle ne pouvait connaître, car logiquement elle n’aurait jamais dût l’avoir, son cœur froid et insensible, ressentait quelques choses pour ce parfait inconnu.

Alishra prépara un cheval et enfila des vêtements de voyage, sa robe de velours était de couleur carmin et était agrémentée de dentelle noire, elle pris également une gourde emplit de sang de porc et quitta la nuit tombée son royaume, elle commença son long voyage, elle navigua toute une semaine et mit enfin pied à terre n seule face à l’inconnue, elle chevaucha se reposant la journée dans les tavernes qu’elle rencontrait sur sa route. Demandant aux voyageurs et sujets des royaumes si personne ne connaissait un dénommé Melchior.. Son chemin était long, et sa lassitude commençait à se faire grande personne ne connaissait le chevalier de justice. Elle évoqua alors dans une auberge la bannière du chevalier.

Un étrange voyageur l’accosta et lui dit :

« L’homme que vous cherchez dois se trouver dans le royaume de la cité gardienne, Hondur et leur protecteur, et je pense que vous devez parler du seigneur De Sombrebrume, ne soient pas triste gante dame, il n’est pas encore mort et vous ne courrez pas après une maudite chimère, je l’ai rencontré très récemment et ce seigneur se porte à merveille, mais qu’es ce qu’une si jolie demoiselle, veux à ce chevalier. »

Alishra ne répondit pas à sa question, elle le salua et repartit vers la cité gardienne …

Le voyage dura encore de nombreux jour, qu’en enfin devant elle, s’étendaient les portes du royaumes. Elle chemina à travers les roches abruptes qu’en une somptueuse cascade termina son cheminement. Alishra se trouvait devant cette étendue d’eau mais ne voyait rien, qui pouvait ressembler à une cité, des bruits de cavalier approchaient, elle se dissimula et comprit à son grand étonnement que derrière la fureur de l’eau se trouvait un passage, elle attendit le soir couchant pour passer, un énorme boyaux de roche découpaient le flanc de montagne, la fraîcheur, ne la faisait pas frissonner mais elle préféra couvrir son corps d’une longue cape noire au blason de son royaume. Une licorne croisant un dragon. Le boyaux de roche apporta de la lumière elle arrivait à la sortie, elle avança visage couvert et se dirigea vers le poste de garde..

La nuit avait envahit le royaume, et seule le ciel étoilée éclairait la jeune femme qui avançait au pas vers le poste. Arrivait au poste de garde elle descendit de son cheval et demanda :

« Je suis une honorable voyageuse, et je viens de par delà le continent la ou la mer à envahit les terres. Je me nomme Dame Alishra, et je viens à vos portes pour rencontrer l’un de vos valeureux gardien le Seigneur Melchior de Sombrebrume. La jeune femme retira le capuchon de sa cape laissant apparaître sa chevelure presque blanche qui se répandit en cascade sur ses frêles épaules. Veuillez m’excuser pour l’heure si tardive, j’aime également pouvoir me reposer … »

Un être au teint aussi palle que la princesse se tenait devant elle, son visage impassible ne laissait transcrire aucune émotion ! On eu dit que tout son corps tout entier était figé, mais lentement il commença une phrase.

Vous avez l’air éreinté jeune femme. Laissez moi vous conduire jusqu'à, une chambre en la quel vous pourrez vous reposer, vous y serez à votre aise, jusqu’à ce que je ramène le seigneur dont vous m’avez parlé.

Ils entamèrent le pas et sur le chemin commencèrent à discuter. Le sieur se présenta tout d’abord :

Je suis le seigneur Nabukodonosor, descendant des Faerides, et dirigeant du royaume caché de Babel. Mais une question me vient à l’esprit et je ne peux m’en détacher. Vous excuserez mon indiscrétion, mais, que voulez vous au seigneur Melchior de Sombrebrume ? Si je vous demande cela, c’est avant tout pour savoir sous quel effet devrais je lui annoncer la nouvelle.

Un léger sourire s’esquissa à l’encoignure de ses lèvres et bizarrement il ne chercha pas à le camoufler.

Nous y voilà ! Dit il, désignant la porte qui se rapprochai d’eux. Puis il s’arrêta devant elle, la fixant droit dans les yeux, comme si il attendait un ordre.

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Alishra regarda attentivement l’homme en armure face à elle, sa chevelure était toujours sûr ses épaules, elle repoussa une mèche blanche qui passait devant son regard, lorsqu’elle entrouvrit ses lèvres rougeoyantes, elle ne prêta pas attention à dissimuler son état. Deux files canines apparurent aux commissures de ses lèvres des petites dents tranchantes nacrées. Elle passa la langue sûr l’une d’elle et lui dit :

« IL est vrai Seigneur Nabukodonosor que la fatigue commence à envahir ma douce personne voilà plusieurs semaines que je suis sûr les routes. Et même avec toute la meilleure volonté je ne refuserais pas de pouvoir enfin m’étendre et me reposer ainsi que de pouvoir me laver dans une eau propre et claire. Mon animal également commence à fatiguer, il lui faut du foin frais et de quoi pouvoir boire et se reposer. »

La jeune femme avança à hauteur du Seigneur et commença à se mettre en marche, elle remit sa cape sûr la tête dissimulant son regard de prédateur, il n’était pas bon d’effrayer les gens la nuit. Recouverte elle écouta le Seigneur se présenter puis esquissa une petite révérence et lui dit, tout en continuant à marcher :

« Je suis enchantée de faire votre connaissance, Sir Nabukodonosor, laissez-moi également terminer de me présenter, Dame Alishra West, princesse du royaume de l’Attis. Héritière du trône de celui-ci … Il est tous à fait normal que vous me demandiez cette requête, ne vous faites point de mauvais sang je viens voir le Seigneur Melchior en tant qu’amis avant tous, enfin laissez moi vous racontez. J’ai rencontrer, il y de cela plus dix années à présent le Sir de Sombrebrume il est venu chasser le démon sûr mes terres. Et quel démon il s’agissait de ma mère, mais je ne suis pas là pour lui porter querelle, je souhaite simplement le revoir pour le remercier et également guérir du mal qui me terrasse. Un mal qui à sans doute un nom mais qui pour moi reste quelques choses d’incompréhensible, voyez Sir Nabukodonosor des êtres tel que moi son pour la plupart du temps, froid et insensible à ce qui les entoure et pourtant moi être damnée, pleure lorsque je suis triste. La vie est souvent bien étrange, moi qui devrai être inhumaine me retrouve doter d’un cœur qui saigne autant que celui d’un être mortel … Lorsque vous verrez Sir Melchior dites-lui simplement que la fille du serpent terrassée par son aigle viens le quérir pour une simple visite de courtoisie »

Alishra avança encore, regardant la nuit de son regard marron rouge, les étoiles ce soir était aussi brillante que les pupilles de chat de la jeune femme, regard sauvage est pourtant si doux lorsqu’elle évoquait le nom du chevalier qui lui avait ôter ses chaînes. Lorsque enfin ils arrivèrent devant les portes. Alishra demanda :

« Puis-je savoir pourquoi votre sourire semble si joyeux … »

Alishra regarda Nabukodonosor il semblait attendre un ordre, de la jeune femme, elle poussa la porte et lui dit :

« Voulez vous vous joindre à moi pour trouver pitance. Je me verrais ravis que vous acceptiez ma requête. ET n’ayez craint, je ne bois pas de sang humain, mais bien celui de bétail.. Je n’ai jamais toucher un cheveu d’un être mortel. Préférant me repaître du sang des porcs. Cela peut vous choquer j’en suis consciente.. Et je comprendrais qui vous décidiez de partir dans l’instant chercher le Seigneur de Sombrebrume. Mais laisseriez vous une gante Dame seule dans une ville qui lui ait étrangère ? … »

Alishra laissa planer le silence plongeant son regard dans les étoiles, et contemplant la nuit et ses merveilles, la main toujours poser sûr la porte. Puis La jeune femme toisa le regard du Seigneur Nabukodonosor, attendant une réponse de sa part.. Elle ne se sentirait pas offusquer s’il refusait son invitation, mais se sentirais bien seule, alors qu’elle avait voyager en solitaire depuis plusieurs semaines …

La jeune femme semblait avoir laisser son esprit vagabondait le regard fixe , Alishra respirait l’air frais qui emplissait ses poumons .. mais à quoi bon elle ne respirait pas . La fraîcheur de la nuit elle la ressentit comme une caresse de Phoebe l’astre de lune.. Elle commençait doucement à sentir la faim envahir son intérieur . Son regard devînt mordorée , mais elle l’avait l’habitude maintenant , Le Seigneur à ses côtés ne risquait rien , la jeune femme avait des principes , et elle ne les enfreindrez pas …

Le seigneur laissa s’effacer doucement son sourire, et regarda tours à tours les différents éléments qui trahissait la nature de son invitée. Si aucune peur n’était lisible sur son visage, c’était simplement parce qu’il n’en ressentait point, il avait déjà terrassé maint être atteint par cette malédiction et s’en était déjà fait mordre. il s’avait par expérience que leurs morsures lui était bénines, cela était due à son sang d’elfe noir ce sang mille fois maudit qui ne pouvait être convoité même part les créatures les plus obscures ! Il fut étonner de l’invitation de la princesse mais ne pouvait ce résoudre à l’offenser en la refusant. Ainsi il chercha une façon de remplir tout ces devoirs ne possédant pas le dons d’ubiquité. C’est à ce moment la qu’il aperçut deux écuyers qui passaient dans le couloir, une fois arrivé à leur hauteur il les interpella.

Salutation mes braves, j’ai une mission à vous confier à chacun ! Toi accompagne cette animal au étable et veille à ce que rien ne lui manque. Sur le chemin tu t’arrêtera aux cuisines et demandera à ce qu’un repas nous soit fait monter ainsi que deux porcs vivants !

L’écuyer le regarda d’un oeil étrange, mais ce n’est qu’en prenant connaissance de son ôtes que sa terreur pris le pas sur sa raison.

Quand à toi, va t’en vite quérir le seigneur de SombreBrume, indique lui comment nous rejoindre en cette chambre et dit lui ceci :

« La fille du serpent terrassée par son aigle viens le quérir pour une simple visite de courtoisie. Qu’elle est en ma compagnie et que nous nous apprêtons à passer à table… »

Il se retourna vers le premier écuyer.

Que fait tu encore la ne t’ai-je point donner une tache à accomplir ?

Les deux homme partirent chacun dans leur direction, et Nabukodonosor ce retourna vers la princesse.

A présent je suis en capacité de répondre à votre offre. Je vous en pris entrons, vous me raconterez votre histoire une fois à l’intérieure.

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Alishra regarda le Seigneur Nabukodonosor donner ses ordres, les écuyers ne se firent pas prier pour exécuter les ordres dictés par le Sir. Toujours en dehors du bâtiment, elle jeta un dernier regard sur la nuit et s’engouffra à l’intérieur de l’auberge. Elle avança vers une table à l’écart du monde déjà présent, elle ôta sa cape, elle était presque entrée et allait rencontrer le Sir Melchior pour la seconde foi. Mais comment amener la discussion vers ce qu’il l’amenait en plus de son envie de revoir le chevalier d’Hondur.

Alishra s’assit et le regard bas commençait à réfléchir sûr la manière d’amener ce sujet sûr la table, depuis la mort de sa mère, la jeune femme était devenue une fervente âme loyale aux doctrines d’Hondur. Les elfes de sa contrée propageant le message d’Hondur en toutes les terres Attisiennes. L’homme de justice été vu comme un sauveur sûr ces terres chaotiques, depuis ce jour chaques âmes vivantes se devaient d’écouter et de suivre cette doctrine.

Lorsqu’elle vit les porcs amenaient, elle sourie. Elle avait faim, mais elle se devait de parler avant de voir le Seigneur Melchior, elle se mordit la lèvre. Sa nervosité était plus qu’évidente, elle regarda le seigneur Nabukodonosor et posa l’une de ses mains sûr la petite table de chêne face à elle.

« Je ne vous ai point tous révéler, si j’ai gravi des montagnes et traverser des mers, ce n’est pas juste pour voir le Seigneur de Brumesombre. J’aimerais également rencontrer votre dirigeant ! car depuis que votre preux chevalier à foulée de ses pieds notre terre, la plupart de mes sujets, loue un culte à l’aigle de justice. Elevant un credo, et abreuvant des chansons de victoires les voyageurs nomades de nos contrées. Le Seigneur de justice est devenu un héros que chantent la plupart des troubadours. J’ai vu tant de chose, l’injustice est partout et au cours de mon périple pour rejoindre votre cité, j’ai entendu maints récits parlant de la justice que vous faites régner. Après peut être est-il folie de ressentir un sentiment si trouble pour une personne vu un seul instant, mais je ne suis pas d’un naturelle défaitiste, et si j’ai réussit à trouver la citée et a vous trouver c’est qu’Hondur guide mes pas. Suis-je folle ? ou ai-je raison de croire que ma destinée était un jour de suivre les traces de mon père qui croyait en la justice pour tous … ! ! »

Alishra sursauta un bruit de cliquetis se fit entendre, c’était encore éloigné, mais approchait rapidement, elle regarda autour d’elle, puis posa son regard flamboyant vers la porte qui n’allait pas tarder à s’ouvrir. Il arriva en armure étincelante, toujours aussi brillante que le soleil. Alishra se trouvait maintenant face à sa destinée du moins le pensait-elle, le seigneur de Brumesombre se dirigea vers leur table. Il semblait très bien connaître le sir qui lui tenait compagnie. Elle n’avait plus faim l’appétit avait disparu son estomac était noué, et elle se sentait mal à l’aise, anxieuse. Des sueurs froides lui coulant le long du dos, elle se releva légèrement et croisa le regard de Sir Nabukodonosor. Puis parla plus bas presque en chuchotant.

« Dois-je renoncer ou bien suivre ce petit morceau de cœur …fragile et si précieux à mes yeux. »

La dame se leva et croisa le regard du chevalier qui avançait vers leur table. Il était si fringuant et si majestueux, que la jeune femme se sentait bien petite aux côtés de ces illustres hommes. Elle qui était un être pour certain démoniaque, avez peur de voir ce jugement attife remonter à la surface, allez t’il la juger sur son apparence ?ou alors sur son fond intérieur ? tant de question, et tant de peur, son regard vif était tremblant, il était visible qu’Alishra avait peur .

Les rues étaient bien sombre, et cela faisait longtemps que Le Soleil était passé à l'Orient...
Wismerhill déambulait donc, seul, pour profiter un peu de la fraicheur du Soir...
Quand au loin, Wismerhill apercut Nabukodonosor, Son Capitaine avec à ses cotées une charmante..créature.
Car l'aura de la Jeune Femme était étrange au sens de l'Elfe.
Elle dégadée une certaine élégance dans ses pas, et une "classe" que bien peu de femmes peuvent se vanter de posseder...

Les deux individus entrérent dans une Tavernes...L'Elfe ne les suivit pas.

"Laissons donc Nabuk à ses affaires" pensa t'il...

Je m'excuse ma dame, mais un long voyage m'attend à présent je dois vous quitter, mais j'espère vous recroiser un jours lorsque le ciel sera redevenu clarté, lorsque la vie trouvera à nouveau un berceau ou s'épanouir. Car pour l'instant plus rien en cette cité ne retient mon coeur et il préfère s'en aller, vagabond, vers de nouveau auspices. Là ou les hommes n'ont pas leur place si ce n'est pour rêver!
Au plaisir, et puissiez vous trouvez ce que vous cherchez en ces lieu, qui sait...

Manos s'avança quelque peu embarrassé.

Cher dame, veuillez m'excuser pour ce retard, je suis incontestablement honteux.
Mais cette attende n'as pas été vaine, car j'ai l'honneur de vous annoncer que vous êtes accepté par mis les Ailes Gardiennes.

Manos se retira de quelques pas en attende d'une éventuel réponse.

» ~~Galhrok~~ [Accepté]
» ~~Crague~~ [Accepté]
» ~~Gantis~~ [Accepté]
» ~~AresII~~ [Accepté]
» ~~Glorfindel~~[Accepté]

~~Alishra~~ [Accepté]

Alishra [Accepté]